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Centranim

 

Bulle s’intéresse depuis longtemps à sa jeunesse, par le biais de sa commission de jeunesse. Mais l’animation a été introduite dans le chef-lieu gruérien par les jeunes eux-mêmes, par l’entremise d’Ebullition dont nous saluons le travail de pionnier. En 1997, Patrick Quartenoud rencontre Jean-Paul Oberson, puis la commission de la jeunesse, alors présidée par Anne Rod, dans le but d’ouvrir un lieu de rencontre pour la jeunesse en ville de Bulle. Un projet est porté devant le conseil général qui vote à l’unanimité (mis à part quelques votes blancs) son intention de créer un centre de loisirs. S'en suivent étude des besoins, création d’une fondation, engagement d’une animatrice et mobilisation de locaux. 

En 2001, le Transbordeur ouvre ses portes dans les anciens pavillons de l’école secondaire, en Dardens. Cette nouveauté suscite vite un bel engouement, qui durera 2 ans. Ensuite, c’est la zizanie ! Quelques délinquants prennent le pouvoir par la force et occupent les locaux de jour comme de nuit. Ni l’emplacement, ni la vétusté des locaux, ni l’action de la police ne permettront d’enrayer la série de délits de ces jeunes. L’animatrice (seule à 50%) est dépassée et la fondation décide l’engagement d’un autre animateur à 50%. La nouvelle équipe a une seule idée en tête : déménager.

Elle trouve des locaux à la limite de la salubrité, mais centrés, et qu’on peut fermer. Cette situation provisoire durera finalement près de 3 ans. Dans la cave, l’animation va se développer comme une bactérie, dans l’humidité, sans lumière naturelle et quasi sans aération. La fréquentation explose, les activités se multiplient et le temps de travail augmente. Un site internet présente les différentes activités qui s’y déroulent.

 

C’est avec soulagement que l’équipe emménage dans l'ancienne école de musique à l'automne 2007. Elle se met à l’ouvrage pour rendre ses nouveaux locaux agréables : peinture, pose de sol, aménagements divers, mise en place d’un programme, etc. L'ouverture en novembre 2007 démontre la fierté des jeunes face aux nouveaux locaux, leur sentiment d’avoir de la valeur et, par extension, d’être écoutés. Ils témoignent d’un grand respect pour leur nouvel endroit. En décembre, l’atelier bougies reçoit le succès désormais habituel : 1400 personnes franchissent le seuil pour y confectionner autant de bougies en 3 semaines. 

Depuis, le Centranim ne fait que d'augmenter ses activités dans des locaux adaptés et bien occupés. L'équipe grandit et engage des apprentis ASE. En janvier 2011, le Centranim reprend l'activité enfants (6-12 ans) des mains d'Ebullition. 
Le 1er janvier 2012, le Centranim est integré par la commune de Bulle, qui crée par la même occasion son service jeunesse, avec la volonté d'engager prochainement un travailleur social hors mur. 

Le 31 juillet 2012, après 100 mois passés à la tête du Centranim, Patrick Quartenoud quitte ses fonctions. 

 

 

 

 

Centre de Loisirs du Jura (Fribourg)

 

C'est ici que Patrick connait son premier engagement en tant que professionnel. Il effectue sa formation d'animateur socioculturel en emploi à l'EESP de Lausanne pendant qu'il exerce comme animateur au Centre de Loisirs du Jura. Suite au licenciement des précédents animateurs, tout est à remettre en place et c'est à cette nouvelle organisation qu'il contribue de 1997 à 2002 avec ses deux collègues, Mireille Taillens et Mickey Conus.

 

 

 

 

Centre de Loisirs du Schoenberg

 

Patrick y effectue 8 mois de stage de 1996 à 1997, c'est la confirmation de sa vocation, les premières grandes émotions professionnelles, des souvenirs inoubliables et la création d'un lien inextinguible avec l'animation socioculturelle fribourgeoise.

 

 

 

AFASC

 

Patrick oeuvre à la création de l'Association Fribourgeoise des Animateurs SocioCulturels (AFASC) et intègre immédiatement son comité, qu'il présidera durant 3 ans. Cette présidence le conduira à sièger à la commission cantonale de l'enfance et de la jeunesse, à des sessions de l'AFAJ (association faitière de l'animation de jeunesse suisse). Il sera également sollicité pour la rédaction d'articles dans le journal de l'association.

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